15 janvier, 2010

Potosi- Uyuni








Partir de Potosi pour aller à Uyuni était le plan de la journée.

La route était asphalée pourtant on m'avait dit que c'était une route de terre. Beau soleil, belle route sinueuse. Le paradis quoi...

Comme vous vous doutez bien, avec ce genre d'entrée en la matière, que ça ne s'est pas passé comme ça...

Les nuages ont commencé à se manifester assez tôt. Il se sont rassemblés et à force de s'empillé les uns sur les autres, ils ont changé de couleur, et se sont mit à faire du bruit.

Et... à l'instant où l'alsphate se termine pur laisser place à une route de terre, la pluie commence à tomber. Oh joie... j'arrète et je mets mes vètements de pluie. Tout comme j;embarque sur la moto pour repartir, la grèle se joint à la pluie...

Et comme la pluie s;accumule sur le chemin, le chemin se transforme assez rapidement en rivière. Et comme je roule en montagne et que je mon et je descent ces montagnes, la pluie se creuse un chemin et défait rapidement et surement le chemin.

Après deux heures de ce traitement qui rends l'avancé de plus en plus difficile, mais aussi l'option d'arreter impossible, car il n'y a aucune maison ici, la pluie laisse la place au soleil.
La route devient alors tout simplement agréable. avec des paysages que je peux maintenant admirer.
Puis... la route n;est simpleent plus une route de terre, c'est maintenant une route de terre, pierres, crevaces, rigoles et, mon favoris, de sable.
Je continue... et meme si je dois conduire entre 40kmh et 60kmh, je continue.
Cette route n'a que 150 km, mais on m'avait dis entre 5 ou 6 heures pour la faire. Jusqu'à maintenant, je ne comprennais pas pourquoi si long...

Puis, après un arret pres d'un lac où les flamands rose se reposent, la route prend une tournure... euh... moins agréable. La route est en construction et en est à l'étape de la gravelle. D'la grosse gravelle, que dis-je, d'la roche environ 30 centimètres de profondeur. Et comme cette route est parcourue par des gros camions, il y a des ornières. et une chance, car c'est dans ces ornières que je roule... et la vibration est immense. mais comme ce chemin est parcourue par des v-hicules lourd, il faut compter sur la corogation pour rendre la vibration plus ... sensible... Pour rendre la route roulabe. Il faut rouler entre 60kmn et 80kmh. Ce que je fais, mais plus question de regarder le paysage, car dès que j'enlève mes yeus de la route, je risque de faire une embardée.

Pour faire une histore courte... toute les vis de la moto ce sont loussées. La moto d'obi a failli perdre une vis qui relie l'arrière de la moto au ¨frame¨. Et moi j'ai perdu en chemin le reservoir d'essence supplémentaire et le protège chaine.

L'arrivé à Uyuni marque la fin de la route et le début d'une autre aventure dans ce DésertLand du tourisme outranger.
Un peu comme monter le mont Washington pour arriver dans le stationnement où l'on vent aux personnes qui ont monté ce mont en automobile des collants ¨This car survive Mont-Washigton´, ou pire le T-shirt I survive Mont-Washigton. Bref... une arrivée anti-climax.

Je voulais visiter le Salr de Uyuni puis ensuite traverser au CHili par un chemin, mais on me dis que c;est pire que ce que je viens de faire et toujours 150 Km, mais 10 heures de route.
ALors je cherche un autre moyen. et le moyen le plus facile, c;est de reprendre le chemin par lequel je suis arrivé, et ça implique un détour de 3 jours au minimum. Alors... Option Train??? Option Camion???option route???

À suivre...

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