28 décembre, 2009

Lima - Nasca






Véronique est arrivé à Lima, le 24 au matin. Enfin, la date est arrivée et une autre partie de mon voyage commence.

Lima, après s'être fait dire que c'est l'enfer est comme une oasis de modernité. J'ai pris un hôtel en plein centre historique de Lima, Hôtel España, et stationné la moto en plein Lobby.

Et bien que ça soit dangereux à cause des pickpocket et des voleurs de tout genres, la ville est très sympatique. En plus d'arriver dans la ville en plein magasinage d'avant noël... intense...

J'ai été achetter de l'huile pour la moto dans un quartier pas trop joli, de l'autre côté de la rivière et j'ai tout de suite sentie que je n'était pas trop à ma place... Le dangers de vol est toujours présent, mais juste avant noël, je sens qu'il est plus présent qu'auparavant. Un voyageur qui restait au même hôtel s'est fait attaqué par trois gars qui lui ont tout pris en le fouillant pendant qu'un gars l'étranglait et ce en plein jour, en pleine ville avec pleins de gens autour.

Malgré le fait que j'ai aimé la ville, sortir de celle-ci fût très agréable. Quatre jours sans rouler en moto, c'est trop long ( Désolé, je viens de penser à tous ceux qui sont au Québec en ce moment et qui me lis!!!)
Maintenant, j'ai un passagère à plein temps...
La traversé du désert s'est fait sans encombre, malgré la présence du vent de Ica à Nasca. On disait que ça prenait deux jours de Lima à Nasca, ce n'est pas vrai... 6 heures de routes.

Et la visites des lignes de Nasca, c'est cher... et en plus... j'ai découvert que j'aimais pas ça voler dans un cesna... non.. pas du tout... mon estomac me là fait comprendre...

20 décembre, 2009

Le soleil a pris la décision










En partant de Chimbote, je me suis rendu vers le Canyon del Pato. Car je roule dans le désert depuis mon arrivé au Pérou. Je savais qu'il y avait un désert au nord du Pérou, mais je ne m'attendais pas littéralement à un désert, je veux dire, du sable et du sable et des dunes et des dunes et du vent et du vent...

Alors d´entrer dans les terres pour voir autre chose, c'est du bien venu, pas que je n'aime pas le désert, mais... du changement est toujours bien venu. Ce qui est bien avec le désert, c'est que ça bouge tout le temps... J'ai toujours pensé que le c´était calme et que l'on se repose à se perdre dans un paysage désertique, mais ce n'est pas le cas. Le vent n'arrête pas de transformer le paysage, chaque grain de sable se projète continuellement vers l'inconnu. Regarder le désert, c'est se mouvoir au rythme du vent.

Et il y a tant de différences dans un désert, je veux dire qu'il n'y a pas deux kilomètres de semblables. Que ce soit la couleur du sable, du marron foncé au ton crème, que ce soit la présence de pierres ou non, que les montagnes soient présentes ou presqu'inexistantes, que ce soit les dunes qui couvrent la route ou les ridulles que sculpte le vent... la beauté n'est que présente que sous des kyrielles de formes sans cesse changeantes. Sans parler du soleil qui joue avec les nuages pour laisser sur le sable les impressions sublimes du passage du temps.

Le changement de route et de relief fût très apprécié. Pour entrer à l'intérieur du pays, il faut longer une rivière qui n'a jamais eu de sourire, sa mauvaise humeur a façonnée le territoire jusqu'à le dévisager. L'eau noire se meut avec peine dans le chaos de pierres.

Je remonte tranquillement la rivière pour arriver dans le cañon (Canyon), Un paysage à couper le souffle...
Des montagnes qui m'engouffrent tranquillement dans leur silence imposant. Ces montagnes sont presque désertiques, que quelques cactus y poussent, et peu de gens y vivent. Les tons froids de gris et de terre priment. Il n'y a que de vert autour de la rivière... Puis, je prends un pont... tout un pont... Son armature est en fer et en bois. Les poutres latérales , en bois sont espacés d'au moins 80 centimètres, et pas régulier du tout, et les quelques planches longitudinales sont retenues avec quelques broches les unes aux autres avec un grand espace au centre et au bord du pont libre de toute planches. Alors on voit très bien en dessous et tout autour. Et en dessous, c'est la rivière qui tumulte comme un enfant en pleine crise de panique. Panique qui commence à se faire présente en moi. le tablier, formé par quelques planches bancales, sont juste assez larges pour passer la moto et pour que mes pieds touchent, que dis-je, les frôlent.

Puis, juste le temps de rouler un peu que le vent s'en mêle. Et le vent... c'est tout un vent puissant. C'est un vent qui provient du Pacifique et qui s'engouffre dans ce désert qui devient montagne et qui me fait propulser de côté en rafale. J'ai mal à rester droit, mais je n'ai pas le choix, car si je tombe, je tombe dans la rivière qui ne veut que m'assassiner de son cours...
Et, pour combler le portrait, Obi s'est engagé juste derrière moi et deux camions sont devant moi, de l'autre rive et qui klaxonnent. Et la chienne me pogne!!!

Le pont est très haut, j'ai le vertige, la rivière m'effraie, je la respecte trop pour la rencontrer, le pont n'indique rien de rassurant et le vent me projète de gauche à droite sans cesse. J'avance à la vitesse de 30 centimètres à la minute.

L'Enfer!!! J'ai su après qu'Obi a ressentie les même émotions, sans le vertige...

Et vous savez quoi?... ben il y a trois pont pareils... et de plus en plus long à chaque fois... Ben les deux autres ponts, Obi m'a aidé à les traversé avec ma moto, car juste à marcher pour les traverser j'en avais la chienne... Totalement apeuré... J'ai touché ici la limite de ce que je pouvais faire...
Puis la route s'est élevée vers de nouveaux sommets, d'environ 200 mètres d'altitude, j'ai progressé à 3000 mètres d'altitude en moins d'une heure trente. Puis... après environ 2 heures de route, on s'aperçoit que l'on a fait fausse route... on a manqué un embranchement, on fait route vers le nord en ce moment...
On demande à des gens qui marchent sur la route et ils nous disent tous que c'est beaucoup plus loin et qu'il faut retourner sur nos pas...

Parce que ça fait très longtemps que l'on a pas vu de village. HUm.... et même un graffiti sandiniste qui me fait réfléchir...

Hé ben vous savez quoi? ben la route qu'il fallait prendre se trouvait juste avant le pont... mais pas le troisième, ni le deuxième, non, le premier pont... le premier qui m'a donné la chienne...

Ya pas de mot...

Mais il y a surement du bien dans ça... revenir sur ses pas, lorsque la pluie couvre la route et que la brume t'empêche de voir à quel point t'est haut dans le ciel, et que la route a laissé place à de la terre, ça te permet de voir que tu a été très loin sur un mauvais chemin en te disant tout le temps "Cou donc, c'est où?"

Puis, en arrivant , à l'intersection... je demande au Policier qui était juste à côté, et qui me dit " ah oui, vous avez pris le mauvais chemin..."

Mais que ce chemin, qui semble très court sur la carte prends au moins trois heures et que ce n'est pas asphalté. Et toute la route que nous avons fait pour arriver à ce point au début de la journée n'avait prit qu'une heure et est au moins 4 fois plus long que celui là... Hum... je crois que c'est une question de qualité de la route...

Il ne reste qu'une heure au jour, le soleil a donc pris la décision pour moi....



(et je ne vous ai pas parlé du sexe hôtel!!!)

18 décembre, 2009

Pérou





EN chemin de Vilcabamba au Pérou, nous nous sommes arrêté pour prendre une photo. Juste le temps d'immortaliser le moment qu'une moto s'arrête, Vincent, un gars d'Allemagne avec sa Transalp fait notre connaissance. Puis, Fernando avec sa femme Isabella, de la Colombie, s'arrête avec sa Vstrom.

Le temps de partager quelques mots, que l'on repart ensemble...

Puis, la traversé de la frontière à Macara, bien que facile, elle a été interminable... plus de deux heures... Puis, la découverte que le Pérou est le pays le plus cher de l'Amérique du sud. l'essence en Équateur est environ 1,75$ le gallon mais au Pérou c'est 13,50 Soles, ce qui veut dire environ $6,50. AYOYE!!! Et les hôtels sont chers. Ce soir, c'est 120 soles pour une chambre double... Et... je croyais avoir tout vu dans la manière horrible de conduire d'un peuple avec le Mexique, puis l'équateur, mais je dois vous dire que je n'ai rien vu. Ici, C'est le chaos. Il n'y a aucune règle. Non, aucune. Un feu de circulation, n'indique rien. Des fois, on trouve un feu rouge avec un feu orange en même temps. des fois c'est l'absence de lumière rouge qui indique de s'arrêter. d'autre fois c'est un feu jaune. D'autre fois il y a un feu, mais la présence d'un policier sur le bord de la route annule ce feu, mais d'autres fois, la présence d'un policier n'indique rien du tout. J'ai du m'arrêter à un feu vert, car l'intersection s'est retrouvé remplie d'autos et de rickshaw dans le sens perpendiculaire. Et j'ai eu la chance de me faire arrêté par un policier car j'ai passé sur un feu vert, et une autre fois car il y avait absolument absence totale de lumière...
Puis, le summum, c'est la présence du feu vert et rouge en même temps... euh... ça veut dire que l'on peut voler?
Chaos je vous dis. ET les rickshaw... que dire... ça passe partout, en tout sens sans ordre quelconque.
Puis aujourd'hui, j'ai fait la rencontre de deux camions qui prenaient la totalité de la route en plein désert. Je n'avais pas le choix que de me jeter dans le sable. Et c'est pas comme si il ne m'avait pas vu. Non, il avançait sans faire quoi que ce soit pour m'éviter. Et dans cette belle journée, je me suis fait rentrer dedans par un taxi qui ne regardait pas devant lui. Aucun bris, mais que d'émotions.

Heureusement que le Pérou est magnifique, car ce serait pas un voyage agréable. Heureusement, nous avons fait la connaissance de Mario, au Katuwira Lodge, où on s'est reposé dans une pyramide au bord de la plage. Puis le nord du pays est un immense désert... Que de beauté!!!

Et que dire des chiens sans poil!!!

15 décembre, 2009

C'est en route que l'on fait du chemin

En route,
C'est effectivement en route que je fais du chemin. Je veux dire autre chose que l'évidence. Le chemin en moi que je fais. C'est en remarquant des choses diverse que je comprends un peu plus moi-même et les autres.

Comme hier, en arrivant ici, à Vilcabamba, un chien pars à courir après la moto d'Obi et moi, qui le suit, voit ce petit molosse essayer de rattraper mon collègue de route. Il se fait menaçant, mais ne me voit pas, car il est totalement concentré dans sa poursuite de la méchante motocyclette. Puis, je fais révolutionner bruyamment ma moto et le pauvre molosse est complétement effrayé et cours se réfugier dans les hautes herbes près de la route. SOn regard complétement apeurée me touche.

J'ai trouvé la situation comique, mais en même temps je me dis que lorsque quelqu'un te menace, il te faut des fois monter un cran la voix, mais continuer tout de même son chemin, comme si de rien n'était.

J'ai vu une partie d'une série télévisée, Kun Fu à Guadalajara au Mexique, et j'ai retenue une partie de la série.
À un moment, Deux jeunes moines bouddhiste s'en vont chercher des victuailles au marché pour le monastère. Ils rencontrent un vieil homme qui leur dit de ne pas prendre le chemin qu'ils s'apprétaient à prendre, mais de s'engager dans un autre chemin, car des bandits les attendent. Alors ils remercient cet homme et suivent son conseil.
Et ils font la rencontre des bandits sur le chemin conseillé. Ils reviennent donc au monastère les mains vides. Leur maître leur demande quelle leçons ont-il retenue de cette expérience. Le premier dit qu'il ne faut jamais faire confiance aux étrangers. Le maître se fâche et lui dit de partir du monastère. Il demande quand peut-il revenir et il lui répond, Jamais.
Le deuxième dit qu'il faut s'attendre à tout à tout moment, et le maître est satisfait.
Bien que le voyage recèle bien des apprentissages, il faut bien comprendre la bonne leçon.
Comme lorsque l'on arrive à Loja, nous sommes reçu à chaque hôtel avec soit un air bête, ou bien des gens qui ne te répondent tout simplement pas lorsque tu leur adresse la parole, ou des hôtes qui additionnent les frais, par exemple pour stationner les motos.
Obi en conclue que nous faisons quelque chose de mauvais. J'en conclu que les gens à Loja sont tout simplement bêtes. Mais le lendemain, on rencontre un garagiste excellent, le meilleur de Loja à ce que l'on dit, qui nous parles et nous indiques des endroits essentiels à visiter ainsi que tout renseignements 1que l'on demande. On rencontres bien d'autres personnes tout autant gentilles. Il faut alors conclure que ce ne sont que les hôtelistes qui sont bêtes. ( je sais hôteliste n'existe pas...)

En plus qu'à l'hôtel choisi,Hostal america on s'est fait réveiller à 7 heures 30 pour nous faire demander quand nous allons quitter la chambre, car la chambre est réservé et la personne arrive plus tôt que prévue. Et moi de répondre que la chambre est payé jusqu'à deux heures de l'après midi et que ce n'est pas notre problème si quelqu'un a cafouillé avec les réservations. Et ils rappellent à toutes les demies heures pour nous redemander la même questions... Charmant!!!

Je suis maintenant à Vilcabamba, un charmant village bien tranquille, ou rien ne se passe et remplis de Gringo. Les femmes ici ont tous des enfants blond. Je crois qu'il y a eu beaucoup d'allemands ici... Car c'est une chose que j'ai remarqué, les allemands sont partout en Amérique du sud. que ce soit des touristes ou des gens d'affaires, que ce soit des ONG ou des immigrants, la plus part sont des allemands.

10 décembre, 2009

Les à peu-près

Depuis que je suis en Amérique centrale et en Amérique du sud, je me rends compte que l'on fait beaucoup d'à-peu-près. Lorsque l'on regarde les constructions, on voit que l'on a mis du temps et de l'effort à faire une maison ou un hotel. Mais à la fin de la construction. on s'est arrêté et laisser des bout de métal sortir su toit ou des murs. on a peinturé, un couche de peinture, mais pas fait les coins, ou bien on a improvisé sur le placement des prises de courant. Ou bien on a tout fait pour se rendre compte que l'on avait oublié de passer les tuyeaux pour l'eau ou le renvoie d'eau.

Je me suis aventuré sur la rivière avec un groupe pur me rendre compte que l'on avait aucune veste de sauvetage, aucun casque et le guide n'a pas de formation de sécurité. Une chance que je savais un peu comment me comporter sur une rivière et de lire cette rivière. Car aucune autre personne du groupe ne le savait. J'imagine à peine ce qui serait arrivé si je n'avais pas pris le kayak. Il y a eu des moments où je ne savais pas trop quoi faire sur cette rivière débordante. Tout a bien été, mais le courant était beaucoup trop fort, pour le peu d'expérience que l'on avait.

Puis ce fût le Canyonning. Paysages magnifiques, marche très agréable, mais... le danger est omniprésent. On a pu s'en rendre compte lorsqu'une femme qui nous accompagnait est tomber de 4 mètres dans la rivière très peu profonde...

Tout a bien été, mais c'est toujours à peu près correct. À peu près sécuritaire.

08 décembre, 2009

Il fallait que je le fasse...







Ici, il y a des larves qui sont un délice pour les enfants et pour les grands. Ce sont des larves de scarabées géants. J'ai eu le plaisir de les avoirs dans mes mains avant de les mangers et je dois dire qu'elles pincent. On m'a assuré qu'elles seront bel et bien mortes lorsque je vais les avoirs dans ma bouche.

Elles ont un goût indescriptible, mais il y a un croquant.. c'est la tête.. ça.. c'est l'image où on me voit grimacer...

En autobus

Le retour de la jungle s'est fait par autobus.

À l'arrêt, on entre dans l'autobus pour se rendre compte que tout les sièges sont occupées. Mais voici que l'on entre dans une autre dimension de la réalité. Presque tous les sièges sont occupés par des femmes avec un ou deux enfants et presque la totalité de ces femmes sont en train d'allaiter leurs enfants. J'veux dire, à 7h 30 du matin, on ne s,attends pas à ça. EN fait.. jamais je voudrais dire, mais ce matin.. c'est tout simplement bizarre. Mais ça deviens plus bizarre lorsque je me rends compte qu'une des femmes n'allaite pas son enfants... car ce n'est pas un enfant, c'est un chien qu'elle cajole et ce chien est dans son bandeaux qui fait le tour de son cou . Elle tiens son chien tout comme les autres femmes tiennent leurs enfants...

Une percée dans l'irréel...

Bibittes




























Arrivé à Tena, je me suis dit que ça serait intéressant de faire un tour dans la forêt amazonienne et de rencontrer le peuple Kicha. Alors Obi et moi, on est parti à la recherche d'une agence de voyage amazonienne. La première rencontrée est parfaite. Le guide est d'origine Kicha, et lce qui propose est bien intéressant. On va voir une autre agence et c'est moins intéressant pour plus cher.

Alors l'aventure se fera avec El Mundo Puma avec Faust comme guide.
La première journée consiste à se rendre à la petite villa en pleine forêt amazonienne. Très jolie avec une très belle vue. Puis on prends une randonnée et on regarde les insectes et les plantes. Dont un arbre qui comporte des fourmis dans son tronc, et les fourmis sont appelées Fourmis citrons, car elles ont un goût acidulée ( voir ma langue sur un bout de bois et un sourire incroyable avec un pouce dans les airs). Puis ont fait un tours aussi le soirs pour admirer ces magnifiques insectes dont une bonne parties sont dangereux. Que ce soit la fourmis Conga, qui te pique et te cause des douleurs pendant 4 à 5 heures et te fait vomir et si plusieurs te pique, tu peux en mourir. INTÉRESSANT!!! Puis le serpent corail qui est le deuxième sinon le premier serpent le plus vénéneux au monde. Entre la deuxième place ou la première, je me dis qu'il n'y a pas trop de différence, pour les deux, je n'ai aucune envie de tester le pouvoir de leur venin. Puis il y a aussi le scorpions qui admirablement reste immobile jusqu'à temps qu'il peut t'assassiner avec son dard. Toutefois, celui ci ne peux te tuer, il a besoin de quelques copain, ou si t'es pas assez vite pour te rendre compte qu'il t'a piqué, qu'il te pique quelques fois pour que tu en meurt. Encore une fois, cette charmante bibittes te fait expérimenter des douleurs atroces et tu vide aussi ton estomac.
Puis il y a la magnifique grenouille qui t'intoxique au moindre toucher. Il ne faut pas oublier ces magnifiques et extrêmement nombreuses fourmis qui coupe les feuilles et qui sont accompagnées de fourmis soldats qui te mordent pour protéger les fourmis travailleuses. Ça fait mal en *****!!!

Puis il y a aussi les tarentules et autres bibittes, comme cette araignée scorpions qui fait peur juste à la voir.
Il y a un adage qui dit : EN la suelva es te mas hojos que hojas. Ce qui veut dire qu'il y a plus de yeux dans la forêt amazonienne qu'il y a de feuilles.

Alors le lendemain, on va faire un tour sur la rivière. Moi en Kayak et les autres en bateau gonflable. WOw!!! la meilleure manière de visiter cette majestueuse forêt verte (vous voyez le jeux de mots? Majes tueuse!!!)
Bon... je continue... Pour entrer dans les embarcations, on laisse nos souliers dans le camions, pas besoins, on est sur l'eau...

ON se laisse aller avec le courant, pas le choix, la rivière est gonflée de la pluie des derniers jours...
Puis un moment donnée, Un magnifique arbre de plus de 600 ans, un Céiba, (ou Céba) se dresse prêt de la rivière et Faust nous fait arrêter. Et on marche pour se rendre à lui. Puis... un onde de conscience se rends à mon cerveau... Je suis en train de marcher nu pieds en pleines forêt amazonienne. Ce même endroits où j'ai vu toutes ces Bibittes... Trouvez l'erreur. Ben moi.. je l'ai trouvé tout de suite... sous la forme d'une belle araignée Noire qui est réputée pour tuer un humain d'une simple morsure... Et mon pieds est à quelques centimètres de madamme.
J'vous dis.. le danger.. c'est relatif.. mais à ce moment là, je l'ai devant mes yeux. et d'yeux à yeux... en fait je suis minoritaire à ce moment, car la magnifique arachnoîde en a 8 sur moi et moi.. snif que deux, mais immensément ouverts en ce moment.
Peut-être que ce n'est pas mieux que de savoir ce qui t'attends...

Je vois les autres qui marchent en toute innocence et moi qui est figé sur un pieds ...

L'histoire se fini avec moi qui lâche un cris de mort et qui court pour faire comme les autres et me pitcher dans le vide grâce à une liane et danser autour du tronc centenaire... mais... j'vous dis... des fois, c'est mieux rien savoir...