31 janvier, 2010

Chile- Argentina















Sortir du Chi8li était un but, car je n,avais pas le budget pour continuer à voyager dans ce pays. C'est un beau pays, ne me méprennez pas. Mais lorsque tu dépense 60 à 70 dollars en essence seulement par jour et que ton budget est sensé ne pas dépasser 25$, il faut rapidement trouver une solution. En premier, il fallait éviter de dormir dans un hôtel, alors le camping est vite devenu une nécessité. Je me suis acheté un sac de couchage et un matelat puis utilisé la housse de moto comme tente. Puis le restaurant est vite devenu superflu. Alors manger dans des stations d'essence et manger du pain fut le remplacement.
C'est ainsi que j'ai traversé le Chili et que je suis arrivé en Argentine près de San Martin de las Andes.
La route qui amène à la frontière est tout simplement magnifique, à un moment, je me suis arrêté dans un champ, remplie de fleurs jaunes avec un soleil magnifique et une vue sur un lac avec des montagnes souppoudrées de neiges éternelles. Avec en pleins milieu de ce champs, un buste de Mozart(???). L'idée était de prendre seulement un diner, mais j'ai passé l'après midi à dormir et profiter de la musique des oiseaux. Ensuite, la route magnifique pour arriver au lac ultime, là où la route s'arrête. Pour continuer, il faut prendre le ferry qui part le lendemain à 8h. Je demande à l'hôtel près du lac si on peux camper sur leur terrain, aucun problème. Ils ont même internet sans fil qui se rends à l'extérieur... Ça c'est du Camping de luxe...

La traversé en ferry fût un luxe bien apprécié d'Obi et de moi... un paysage suisse à couper le souffle.

Puis une route de terre encore magnifique qui nous amène en Argentine. Et l'immigration fut rapide et agréable ainsi que les douanes. La douanière nous a même offert un sac de biscuit... Tout un changement avec le Chili. Le Chili est très jolis, les gens très polis, mais pas nécessairement courtois et pas vraiment aimable.
Je suis habitué à me faire poser des question sur mon voyage et sur ma moto. Je suis habitué à suciter l'intérêt, mais ici au Chili... absolument aucun intérêt à mon égars, sinon à mon argent.
L'arrivé en argentine fût un retour à la normal. Les questions fusent et l'intéret est marqué. Je me sens bien ici en argentine. Les sourires réapparaisent enfin.

Avec en prime un sac de biscuits.
Bienvenue en Argentine... voici les biscuit!!!

Il manque seulement le Maté...

23 janvier, 2010

Chili






L'arrivée au Chili a fait une place en moi pour une surprise. C'est CHER!

Antofagasta, est une ville très chère parce qu'il y a beaucoup de mine de cuivre. Aprèes la traversé du désert et la fin de la route de sable-terre-roches-corogations-poussières-sable-roches-terre-trou-retrou-poussières-pourssières, on a enfin touché à de l'alsphate... C'est fou comment on peut aimer une route juste parce qu'elle est asphaltée...
Donc, aprèes cette route, nous roulons sur de l'alsphate magnifique et nous traversons les restant du désert... c'est ce que je pense mais je suis dans l'erreur....

An attendant la suite.. On arrive à Antofagaste et on a de la misère à trouver un hôtel. Pour la première fois dans ce voyage... tout est plein... On arrive à trouver un hôtle minable pour 20 000 pesos, ce qui veut dire 40 dollars U.S. Et la chambre est dans le sous sol, ça sent l'humidité et les égouts. Et il n'y rien d'inclu. à part la pseudo eau-chaude...

Le lendemain, on prends la décision de camper le plus souvent possible au CHili. Mais, J'ai rien pour camper. Je dois m'acheter un sac de couchage ainsi qu'un matelat. Je vais utiliser la housse de la moto comme tente. Donc on va au centre d'acaht et pendant ce temps Obi va régler sa chaîne.

À mon retour, il me dit que ça chaîne est fini et qu'il faut la changer maintenant...

ALors on part à la recherche d'un garage et on trouve assez rapidement, mais on ne trouve que des chaînes chinoises. (TRÈS TRÈS CHEAP)

Avec totu ça, on quitte Antofagasta sans manger vers 11 h 30 en direction du sud...

EN peu de temps, on se rends à la "main" dans le désert... Photos

Puis on traverse le tropique du capricorne.

et l'on dort dans le désert, près de Serena, près de la mer...

Mon organisation est pas mal... Mais il manque de l'eau chaude...

Le lendemain on va chercher une boulloire qui se brache dans la prise 12 volts de la moto.

Idée qui semble géniale...

Mais ça vide la batteries, même si je fais fonctionner le moteur pour la majorité du temps... Car le soir d'aprèes... on se fait un merveilleux thé, mais je ne peux repartir la moto... Je suis en pleine montagne, au sud de Ovalle, je peux repartir avec la compression, mais il faut être sur la route pour ça... Je peux tu dire qu'une V-Strom c'est lourd à pousser en montagne sur un terrain très inégal avec beaucoup de roches!!!

Ya des idées qui semble bonne comme ça...

Puis j'ai rencontré les courreurs du Raid Atacama.. Une super belle gang de tripeux...

Puis.. l'arrivée à la très chaude (température) Santiago. Magnifique Ville!!! Mais on est dans la deuxième ville la plus cher au CHili. très proche de la première, Antofagasta.
J'arrive au concessionnaire, après deux heures de tournage en rond dans la ville en pleine circulation, et le gars me dit qu'il ne peut rien faire avant lundi. Et on est vendredi.

Heureusement, j'ai rencontré un gars qui parle le français, car ici les chilien parle un espagnol unique au monde avec une vitesse surprenante et lorsque l'on demande de parler plus lentement, il répete dans les même mots à la même vitesse... charmant!

IL Maide à trouver un autre garage qui peut faire la job. C'est à dire changer le filtre à l'huile, le filtre à air, changer les seals (retener) intérieur et extérieur de la suspension avant et aussi changer le seal de la push rod et ... j'oubliais, quitte à tout faire ça... changer l'huile, car on doit vider l'huile de toute façon. Et acheter un pneu avant... mon Karoo 2 fond à vu d'oeuil...

560$... %?$@?%#$?#%$@?#%@?%@ $%@?%#?&@#$@5

ah ben... ya pas juste mon pneu qui fond... mon porte-feuilles aussi...

Définitivement, On doit quitter l Chili... trop cher

Direction sud au plus vite... Dans 10 jours on veux être à Ushuaia... La fenêtre dans le temps se ferme de plus en plus.. au plus tard, la fin de la deuxième semaine de février on doit être rendu à Ushuaia... puis.. revenir....

Lundi matin... Route route et route... Et camping dans ma housse de moto...

et la suite... c'est que le désert se poursuit jusqu'à l'entrée de Santiago... MAGNIFIQUE!!!

19 janvier, 2010

Uyuni - Antofagasta






















Les options possible pour entrer au Chili en provenance d'Uyuni, BOlivie, sont abondantes. Pendant que Obi, est partie pour son tour de trois jours dans le salar et autres lieux, moi j'essaie de me remettre de la grippe, en fait de passer au travers, et puis de chercher une solution ça ce qui semble impossible... traverser sécuritairement la frontière... Les routes semblent toutes plus terribles les unes que les autres, et, des amis nous ont avertis que la route vers San Pedro d'Atacama était quelque chose... quelque chose à éviter.
Alors, j'ai réussi à trouver un chemin en traversant le Salar, mais on me dit qu'il y a beaucoup de sable sur la route après. Puis j'ai trouvé un camion pour nous ammenner au CHili, moi Obi et les motos, mais il faut partir dimanche matin et Obi revient de son tour dimanche soir. puis, à force de demander ,il semble qu'il y ait une route sécuritaire ( voir ici sans sable) qui passe par San-Cristobald, puis vers Ollagye, puis Calama Chili.

C'est l'option que l'on choisi. Alors.. Lundi Matin...

On se lève tôt, grâce au réveil brutal du téléphone d'Obi. Et on prends la route vers le salar, histoire de prendre quelques photos obligatoire... et de rouler sur ce lac de sel...

On revient puis on fait la file au poste d'essence. Car il n'y a pas d'essence dans cette ville depuis samedi matin... alors il faut attendre. la camion d'essence est du pour arriver à 9h 30. Alors, après 1h 30 d'attente, le3 camion n'est toujours pas arrivé... à 10h 30, il arrive, mais il n'a pas d'essence... On nous dit dans une heure environ... Hum... attendre encore pour nous faire dire , qu'il faut attendre encore???

Heureusement, il y a un marché noir... à 3 fois le prix. au lieu de 2 Bolivianos le litre il faut compter 6 Bolivianos...
Alors on fait le plein, et Obi a acheté un bidon d'essence de 20 litres pour être sûr de faire toute la route. Car on nous dit qu'il faut compter au moins 550 kilomètres sans postes d'essence. Bon, il faut dire qu'avec un bidon de 20 litres, Obi n'est pas allé de main morte... mais bon... il n'en manquera pas, c'est sûr...

La route sans sable est en fait... une route avec sable... mais bon... pas si pire que ça... Quelques "patch" de sable ici et là... et de la roches partout.... et de la poussière aussi... partout... Après avoir roulé dans des paysages lunesques, nous sommes arrivé à la frontière, qui a l'air d'une ville fantôme... avec sa gare fantôme...

Mais tellement fatigué, que nous décidons de rester dormir à Ollagye. Cette petite ville fantôme nous accueille sous la forme d'un vielle homme très sympatique qui nous fait à manger et nous offre une chambre bien entretenue pour 8$. La chambre tient avec des bout de 2X4, des bout de cartons, des bout de tôle et du styrofomme... bref.. charmant... (surtout avec le poster de Iron Maidon)

Le lendemain, on se réveille pour rapidement prendre la route dans un paysage époustouflant... J'ai même vu un volcan faire une petite explosion...

Et la moto a passé son 66666 kilomètres au compteur... Elle est bien fidèle...

Nous passons la nuit à Antofagasta, dans une ville qui est aussi cher qu'au états unis...
Le Chili nous promets de vider le porte feuille, alors... je vais acheter un sac de couchage... car le miens, je l'ai laissé au Nicaragua, car j'en avait pas besoin... ah ben... j'avais pas pensé qu'au Chili ça serait si cher... $40 dollars US, pour une mini chambre dans un sous sol...

Mais le Chili est magnifique, j,ai roulé toute la journée dans un désert et... Wow.... Désolé... j'ai pas de mot... tout simplement... épatant, époustouflant... j'en ai pleins les yeux....

15 janvier, 2010

Potosi- Uyuni








Partir de Potosi pour aller à Uyuni était le plan de la journée.

La route était asphalée pourtant on m'avait dit que c'était une route de terre. Beau soleil, belle route sinueuse. Le paradis quoi...

Comme vous vous doutez bien, avec ce genre d'entrée en la matière, que ça ne s'est pas passé comme ça...

Les nuages ont commencé à se manifester assez tôt. Il se sont rassemblés et à force de s'empillé les uns sur les autres, ils ont changé de couleur, et se sont mit à faire du bruit.

Et... à l'instant où l'alsphate se termine pur laisser place à une route de terre, la pluie commence à tomber. Oh joie... j'arrète et je mets mes vètements de pluie. Tout comme j;embarque sur la moto pour repartir, la grèle se joint à la pluie...

Et comme la pluie s;accumule sur le chemin, le chemin se transforme assez rapidement en rivière. Et comme je roule en montagne et que je mon et je descent ces montagnes, la pluie se creuse un chemin et défait rapidement et surement le chemin.

Après deux heures de ce traitement qui rends l'avancé de plus en plus difficile, mais aussi l'option d'arreter impossible, car il n'y a aucune maison ici, la pluie laisse la place au soleil.
La route devient alors tout simplement agréable. avec des paysages que je peux maintenant admirer.
Puis... la route n;est simpleent plus une route de terre, c'est maintenant une route de terre, pierres, crevaces, rigoles et, mon favoris, de sable.
Je continue... et meme si je dois conduire entre 40kmh et 60kmh, je continue.
Cette route n'a que 150 km, mais on m'avait dis entre 5 ou 6 heures pour la faire. Jusqu'à maintenant, je ne comprennais pas pourquoi si long...

Puis, après un arret pres d'un lac où les flamands rose se reposent, la route prend une tournure... euh... moins agréable. La route est en construction et en est à l'étape de la gravelle. D'la grosse gravelle, que dis-je, d'la roche environ 30 centimètres de profondeur. Et comme cette route est parcourue par des gros camions, il y a des ornières. et une chance, car c'est dans ces ornières que je roule... et la vibration est immense. mais comme ce chemin est parcourue par des v-hicules lourd, il faut compter sur la corogation pour rendre la vibration plus ... sensible... Pour rendre la route roulabe. Il faut rouler entre 60kmn et 80kmh. Ce que je fais, mais plus question de regarder le paysage, car dès que j'enlève mes yeus de la route, je risque de faire une embardée.

Pour faire une histore courte... toute les vis de la moto ce sont loussées. La moto d'obi a failli perdre une vis qui relie l'arrière de la moto au ¨frame¨. Et moi j'ai perdu en chemin le reservoir d'essence supplémentaire et le protège chaine.

L'arrivé à Uyuni marque la fin de la route et le début d'une autre aventure dans ce DésertLand du tourisme outranger.
Un peu comme monter le mont Washington pour arriver dans le stationnement où l'on vent aux personnes qui ont monté ce mont en automobile des collants ¨This car survive Mont-Washigton´, ou pire le T-shirt I survive Mont-Washigton. Bref... une arrivée anti-climax.

Je voulais visiter le Salr de Uyuni puis ensuite traverser au CHili par un chemin, mais on me dis que c;est pire que ce que je viens de faire et toujours 150 Km, mais 10 heures de route.
ALors je cherche un autre moyen. et le moyen le plus facile, c;est de reprendre le chemin par lequel je suis arrivé, et ça implique un détour de 3 jours au minimum. Alors... Option Train??? Option Camion???option route???

À suivre...

13 janvier, 2010

Diablos Negros






Arrivé à Oruro, après une journée de route magnifique, je me suis mis à rechercher un hôtel. Tâche pas évidente... Ils y a beaucoup d'hôtel, mais peu avec chambre de bain, eau chaude et le plus important... stationnement sécuritaire pour la moto.
Après avoir visité 5 ou six hôtel, je remarque qu'il y a quelques goutes d'huile en dessous de la moto... hum... je me dis que c'est probablement un automobile qui s'est stationné là avant moi...., mais je regarde bien... et ça semble être o.k. puis après avoir visité un autre hôtel, infructueusement, je me rends compte qu'il y a encore quelques goutes d'huile en dessous de la moto... et là je regarde attentivement et je me rends compte que de l'huile coule près du driving shaft.. oh ho!! Va falloir palier à ça...

Après avoir visité 10 hôtels, j'en trouve un qui a un stationnement fermé.. Yeah.. j'en profite pour regarder la fuite... Et ça coule beaucoup... et je suis en Bolivie... Il n'y a pas de concessionnaire à tous les coins de rues... et en plus je suis à Oruro, une petite ville...
Je commence ma recherche sur le net et je fais la découverte d'un club de moto à Santa Cruz, une ville assez éloigné, mais en Bolivie tout de même. J'envoie un courriel, ensuite j'en envoie un au seul concessionnaire Suzuki moto de la Bolivie à Cochabamba. puis j'affiche des messages à MotoAventureQuébec, à RideAventure. Puis je demande à mes amis que faire... Parce que là, j'en sais rien...
Le soleil s'est couché et j'en profite pour dormir...

Le lendemain, j'ouvre la boite aux lettres et mon amis Guy m'a répondu ainsi que mon père. Avec le diagramme des pièces en jeux, je pars à la recherche d'un garage, ou d'un endroit où je pourrais acheter les pièces. EN faisant le tour de la ville à pieds... je vois un endroit qui pourrais correspondre à ce que je cherche... de gros barils d'huile sont la devanture. Ils n'ont rien qui peuvent m'aider et à ma demande, ils me dise qu'il n'y a pas moyen de trouver ce que je recherche dans cette ville, et en Bolivie.... ils en doute. Mais heureusement, Ivan, un client est là et me dis qu'il va m'aider... Il est membre d'un club de moto antiques de la ville d'Oruro et qu'il connait un mécanicien, le meilleur de la ville et qu'il va m'aider.
Je vous dis que là... je suis content... parce que ça faisait au moins une heure que je marchais dans la ville et je ne trouvais rien...

EN arrivant chez David, et Jessy, je me retrouve à être accueulli les bras ouvert... EN défaisant la moto sur le coin de la rue, on s'aperçoit que c'est le seal de la push rod qui fuit. Alors... on travaille là dessus et on se retrouve à être 3 à travailler sur la moto et... on cherche des solution au manque de pièce. Car après avoir fait le tour de la ville, Dante me dit qu'il faut inventer.
On a travailler de 9 heure 30 du matin jusqu'à 7 heures et demie du soir. Et pendant ce temps, Jessy a trouvé le temps de nous faire à manger , de me faire des biscuits, et de nous faire à souper. ET en fin de journée... David me fait lhonneur de me faire member du club des Diablos Negros, patch comprise... Je saute de joie... en plus que la moto est réparée, que j'ai mangé des repas délicieux et que j'ai rencontré des gens extraordinaires, j'ai le droit à la patch... Patch que Jessy s'empresse de coudre sur mon manteau.

Pendant toute la journée, une partie des membres du club vient faire ma rencontre et me montre leur bijou, moto, respectif. J'ai vu deux Jawa, dont une avec un suicidal shifter, une belle Triumpf qui ressemble à la moto de EasyRider. Ainsi qu'une Honda 1972 CB350 tel que sortie de l'usine.

Une journée remplie de découverte, puis... quatres motos brésilliennes arrivent et s'arrêtent et on se met à échanger... Ils voyage eux aussi et sont enchanté par mon voyage... Des rires et des sourires sympatique et véritables...
Puis... plus tard... Un couple de québécois, Suzanne & André Gareau arrive en motorisé et on fait la jasette un bout de temps. Ils ont rencontré beaucoup de gens avec qui j'ai ridé un bout de temps. Ils leurs ont dit qu'un Québécois roulait vers la terre de feu en moto. En fait, ils croient me connaître tellement qu'ils ont entendu parlé de moi sur le chemin... Ils étaient bien heureux de me rencontrer enfin... Et moi.. heureux de savoir que tous les gens que je rencontre sont bien fiert de participer à mon rêve et d'échanger avec tous ce que je fais...

La journée s'est terminé avec un coup de soleil, Un sourire inséparable de mon visage, Une patch sur mon manteau, une moto qui roule à merveille, et Obi... qui a finallement rattrapé son partenaire de route... qui se retrouve dans ma chambre d'hôtel... Une journée formidable qui a commencée dans la difficulté.

Et le lendemain, j'ai présenté Obi au Diablos Negros... qui ont accepté immédiatement de l'entrer dans la famille...