28 novembre, 2009

Medellin-Pereira-Solento-Popayàn-Ipiales-Otavalo











Bien entendu, je ne peux tout décrire dans un blog. Ce n'est pas parce que ce n'est pas intéressant, c'est juste qu'il y a trop de chose à décrire et trop de temps pour vivre et peu pour décrire.

Chriss et Melissa, Johannes et Judy ainsi que Omar, Silvio et Victor, ont quitté lundi matin Medellin. Moi et Obi et Ingo, sommes resté à Medellin car Ingo avait des problèmes de carburateurs (pas vraiment, mais c'est une autre histoire).
Alors j'ai pris la journée pour faire quelques ajustement, réparer la connection pour les phares avants.
Mardi Matin, C'est le départ et le début du jeux; rattraper les amis. À cause de certaines difficultés, nous avons quitté la ville vers 1h. Alors nous n'avons pas pus rejoindre nos amis qui étaient restés à Salento. Nous nous sommes arrêté, pour éviter de conduire la nuit à Pereira. Nous avons trouvé un magnifique hôtel dans le cartier Red light de cette ville industrielle. Juste entre un hôtel payable à l'heure et un bar de strip tease.
Le lendemain, nous avons quitté tôt pour rejoindre nos amis qui ont quitté eux aussi tôt pour Popayàn. Nous avons su celà grâce à la rencontre d'un allemand qui voyage en vélo. Nous l'avons salué et il s'est arrêté pour nous dire que nos amis avaient déjà quitté la ville.
Du a des difficultés mécaniques du la moto d'Ingo, nous avons quand même resté à Salento et visité la ville. C'est un autre endroit magnifique de la Colombie.
Le lendemain, tôt, nosu avons essayé de quitter la ville. Pour que je me rendre compte que j'ai une crevaison sur mon nouveau pneu arrière... Argh...
Le temps de "pluguer" mon pneu nous nous retrouvons sur la route.

Pour se rendre à Popayàn, il y a deux chemins. Le plus court passe à côté de Cali, un grande ville, et le second passe au travers de Cali, et ce chemin est d'au moins 1 h 30 minutes plus long. L'inconvénient, c'est que la semaine passée, il y a un autobus qui a été arrêté par les FARC et qui a été incendié avec les voyageurs à l'intérieur. Pas trop sécuritaire comme route.
Mais savez vous quoi!!!!!!!!!!!!!! C'est cette route là que l'on a pris. Et si vous pouvez lire ceci, c'est qu'il ne s'est rien passé de spécial.
SI ce n'est que l'on passé à travers des villages tout à fait inhospitaliers. Et selon les régions, les gens sont très différents. et ici, c'est des gens d'origine africaine. Nous avons su celà lorsque Obi a parlé avec un gars du village et il a dit...
- Je ne vous recommande pas vraiment cette route là.
- Pourquoi?
- Parce qu'elle n'est pas très sûr.
- Pourquoi?
- Parce qu'il y a un autobus qui a flambé la semaine passé par les FARC.
- Avec les gens dedans?
- Ouais...

et tout ça dit sur un ton tout à fait banal... banalisant...

Nous avons retrouvé contact avec nos amis à Popayàn, la ville blanche. Jolie... tout de même...
J'ai dormi dans un hôtel pour $12 dollars, chambre privées avec sale de bain privée avec tv... etc... La dame, bien gentille nous a soigné aux petits oignons... ( ça vient d'où cette expression???)
Le lendemain, nous avons déjeuner avec un steak... ouf...

Ensuite, la route vers Ipiales, à la frontière avec l'Équateur. Nous voulions arriver en Équateur, mais encore une fois, la route est plus longue que prévue. Beauté du paysage oblige des arrêts fréquents. À Ipiales, nous nous sommes arrêté à la plaza centrale pour trouver un hôtel. EN moins de deux, nous étions entourés d'environ une centaine de personnes qui épiaient tout nos mouvements. Situation très particulières.

Ensuite, la visite d'une Cathédrale Néo-GOthique. Ici??? en Colombie??

Puis... ce matin, la traversé de la frontière fus la lus rapide de tous et la plus simple avec absolument aucun frais.

et la route tout simplement magnifique vers Otovalo, la ville où il y a le plus gros marché d'artisana en Amérique du sud... Chriss et Melissa ainsi que GIno, un vénésuélien, ont continué vers Quitto...

Sur les photos, Medellin à Solento. Obi au Mirador de SOlento et Ingo dans les marches vers le mirador.

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