17 mars, 2010
El Cañon del Pato
J'y ai pensé, lorsque j'ai écrit le dernier article. Je ne suis pas sorti du Pérou, alors il ne faut pas dire que tout a bien été au Pérou, tant et aussi longtemps que je en suis pas sortie du Pérou.
C'est comme demande que tout aille mal.
Je me suis fait arrêté par des policier corrompu, encore une fois, mais c'est une première au Pérou. Ils étaient 4 policiers et, lorsque le premier est venu me voir, tout sourire, je lui ait donné la main et demandé comment il allait, puis... il me dit que je faisait de l'excès de vitesse... Oh ho... je comprends à l'instant... alors je me mets à mal parler l'espagnol, en fait, je fait semblant de ne rien comprendre... (pourtant au début je comprennais tout et parlait bien)
Pourtant je ne faisait aucun excès de vitesse, je roulait 80kmh dans une zone de 90kmh, mais il me dit que c'est une zone de 40kmh. Mais je fais toujours semblant de rein comprendre, Alors un autre policier vient à sa rescousse, mais je dis, avec extrêmement de difficultés que je ne parle que français. Alors il m'écrit que c'est $150 U.S. Et je fais semblant de rein comprendre... Il insiste pendant 20 minutes... il baise le prix à $100 U.S... je comprends toujours rien... Il me rends mes papiers et me dit de partir... et je pars....
J'ai résisté à la tentation d'argumenter avec lui, lui demander à quelle vitesse que j'allais , lui dire qu'il n'y avait pas de panneau indiquant la vitesse qu'ils disent que la zone est limitée. Mais non, j'ai rien dit et fait l'imbécile, et j'ai même parlé en français, pour l'impressionner...
Ça a marché. Mais... Ça été sérieux cette fois...
Puis j'ai continué la route jusqu'à Huaraz. J'ai passé de 200m d'altitude à plus de 4200m d'altitude en 2 heures et la pluie a mis fin à mon périple... Mais... la pluie a continué pendant toute la nuit et même le lendemain... Et je veux passer à travers le Cañon del Pato, qui est essentiellement une route de terre et de pierres. J'ai bien peur qu'avec mon pneu de route en avant, que je ne puisse pas passer...
Effectivement, je procède malgrés les glisse3ment de terrain qui couvrent la route à plusieurs endroits de plusieurs mètres de boue. Tant bien que mal... je continue... car, la pluie n'a pas trop touché le cañon. et à mon plus grand plaisir... une courte route, qui compte au moins une quarantaine de tunnel, mais superbe....
Voyez les quelques photos qui effleurent la beauté des lieux...
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1 commentaire:
Contente de te lire à nouveau. Toujours être sur la défensive doit jouer sur les nerfs.
Au Québec , on parle d'intimidation et de corruption dans les chantiers de construction, ces jours-ci. Il faut croire que chaque endroit connaît ses zones grises.
Bonne continuité!
Bellemanxx
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