24 mars, 2010
Observations
On utilise combien de brosse à dents dans une année? Ça prends combien de temps terminer un tube de pâte à dents? Un baton de déodorant peut durer combien de temps?
Ça d'l'air de rien, mais je me suis jamais posé ce genre de question. C'est peut-être anodin, mais c'est vraiment spécial que je n'arrive pas à répondre à ces questions. À la maison, le quotidien occupe tout l'espace par son vide. Je veux dire par là, que je ne pense pas au quotidien lorsque je suis dedans. Le pilote automatique fait son ouvrage et j'évite d'être conscient des choses... quotidiennes. Lorsque je sens que le tube se termine, j'en achète un autre, comme ça, je n'aurai pas le déplaisir de ne pas avoir de pâte de dentifrice un matin, toujours un autre tube.
Durant ce voyage, après plus de 7 mois, je me rends compte que j'ai toujours le même bâton de déodorant que la première journée, la même brosse à dent et que je suis rendu à mon deuxième tube. Le paquet de Q-tips n'est pas rendu à la moitié, et j'en suis rendu au deuxième tube crème solaire. J'ai maintenant un idée de ce que ces items ont comme durée de vie. Et je me rends compte que lorsque j'achète un paquet de 6 brosses à dents au Cosco, j'en ai probablement pour 3 ans pour passer au travers du paquet. Et le paquet de 4 tubes géants de pâte dentifrice, ont une durée qui dépasse le 3 an et demi.
Est-ce qu'il se peut que je sois écoeuré de la saveur menthe fraiche après 3 ans?
Pourquoi faut-il que je prévoies d'avance ce dont j'aurai besoin et ce dont je pourrais manquer. Qu'est ce que ça changerais de manquer de pâte à dent un matin.
Manquer de papier de toilette, je sais et je préfère ne pas en manquer, mais le baton de déodorant?
Voyager en moto me force à réduire ce dont j,ai besoin, car je n'ai pas de place sur la moto pour des choses superflues. Sans parler du poids supplémentaire que j'impose à la moto. J'en suis à l'essentiel et je me rends compte que l'essentiel est plus mince que je croyais.
Et une question comme ça... pour vous... Une paire de Jeans, ça dure combien de temps?
Combien de jours peut-on porter une paire de jeans avant qu'elle ne soit plus bonne?
23 mars, 2010
Asphaltée???
Lorsque j,ai passé la frontière du Pérou avec l'Équateur, je me suis arrêté à Vilcabamba. Puis j'ai pris une route que je n'avais pas prit auparavant, car je veux tout de même visiter, même si j'ai une plage horaire limitée.
Je décide donc de prendre le chemin le plus à l'est pour me rendre en Colombie.
On me dit, que c'est une route toute en asphalte. Je sais bien qu'il ne faut pas faire confiance aux gens lorsque l'on me dit ça, mais... à chaque fois que je demande, on me dit toujours la même chose... et j'ai demandé à au moins 10 personnes...
PAS VRAI!!!!!!!!!!!! C'est une route à majorité asphaltée, mais... quand même beaucoup de terre et de roches et même un pont bloqué, car un camion a passé au travers... une heure d'attente...
19 mars, 2010
Vilcabamba
L'heure à encore changée. J'avais oublié et je l'ai su que j,avais oublié lorsque la gentille dame de l'hôtel m'a signifié poliment qu'elle ne servait pas encore le déjeuner. Qu'il fallait que j'attende. Ah ben...
Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillé si tôt, ah.. c'est peut-être les coqs qui font compétition sur le nombre de personnes qu'ils peuvent réveiller...
Parce que je suis fatigué, la grippe (ou rhume je ne le sais pas) et la route fait son oeuvre. Mes doigts veulent se séparer de mes mains lorsqu'il y a trop de vibrations sur la route. J'imagine que c'est comme une tendinite... En sortant du Cañon del Pato, je ne pouvais plus fermer mes mains tant la douleur s'était installée. Alors.. une journée de repos... ça fait du bien pour le corps... car si ce n'était pas du corps, je continuerais encore et encore...
Hier, la route était magnifique, que des courbes avec des montées et des descentes avec des paysages magnifiques et des odeurs que je ne me souvenais plus qu'elle existaient. Car j'ai quitté le désert, pour entrer dans la végétation... L'équateur est vert, et ça fait du bien aux yeux et à l'âme de voir la vie si omniprésente...
J'étais tellement content, que lorsque j'ai traversé la frontière Pérou-Équateur, je devais l'exulter, car la conversation avec les officiel fût très agréable et aucun problème s'est présenté.
Il me semble qu'ici, la vie est plus facile en Équateur... les gens sont plus amicaux et génèrent moins de stress. c'est ainsi que je me sens, en pleine place centrale de Vilacabmaba, avec des chevaux qui passent, des étudiants qui chantent et une ribambellent de Hypies qui n'ont jamais quitté le pays... ça donne une atmosphère...relaxe... et c'est ça que j'ai besoin, ça adonne bien... hein?
Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillé si tôt, ah.. c'est peut-être les coqs qui font compétition sur le nombre de personnes qu'ils peuvent réveiller...
Parce que je suis fatigué, la grippe (ou rhume je ne le sais pas) et la route fait son oeuvre. Mes doigts veulent se séparer de mes mains lorsqu'il y a trop de vibrations sur la route. J'imagine que c'est comme une tendinite... En sortant du Cañon del Pato, je ne pouvais plus fermer mes mains tant la douleur s'était installée. Alors.. une journée de repos... ça fait du bien pour le corps... car si ce n'était pas du corps, je continuerais encore et encore...
Hier, la route était magnifique, que des courbes avec des montées et des descentes avec des paysages magnifiques et des odeurs que je ne me souvenais plus qu'elle existaient. Car j'ai quitté le désert, pour entrer dans la végétation... L'équateur est vert, et ça fait du bien aux yeux et à l'âme de voir la vie si omniprésente...
J'étais tellement content, que lorsque j'ai traversé la frontière Pérou-Équateur, je devais l'exulter, car la conversation avec les officiel fût très agréable et aucun problème s'est présenté.
Il me semble qu'ici, la vie est plus facile en Équateur... les gens sont plus amicaux et génèrent moins de stress. c'est ainsi que je me sens, en pleine place centrale de Vilacabmaba, avec des chevaux qui passent, des étudiants qui chantent et une ribambellent de Hypies qui n'ont jamais quitté le pays... ça donne une atmosphère...relaxe... et c'est ça que j'ai besoin, ça adonne bien... hein?
17 mars, 2010
El Cañon del Pato
J'y ai pensé, lorsque j'ai écrit le dernier article. Je ne suis pas sorti du Pérou, alors il ne faut pas dire que tout a bien été au Pérou, tant et aussi longtemps que je en suis pas sortie du Pérou.
C'est comme demande que tout aille mal.
Je me suis fait arrêté par des policier corrompu, encore une fois, mais c'est une première au Pérou. Ils étaient 4 policiers et, lorsque le premier est venu me voir, tout sourire, je lui ait donné la main et demandé comment il allait, puis... il me dit que je faisait de l'excès de vitesse... Oh ho... je comprends à l'instant... alors je me mets à mal parler l'espagnol, en fait, je fait semblant de ne rien comprendre... (pourtant au début je comprennais tout et parlait bien)
Pourtant je ne faisait aucun excès de vitesse, je roulait 80kmh dans une zone de 90kmh, mais il me dit que c'est une zone de 40kmh. Mais je fais toujours semblant de rein comprendre, Alors un autre policier vient à sa rescousse, mais je dis, avec extrêmement de difficultés que je ne parle que français. Alors il m'écrit que c'est $150 U.S. Et je fais semblant de rein comprendre... Il insiste pendant 20 minutes... il baise le prix à $100 U.S... je comprends toujours rien... Il me rends mes papiers et me dit de partir... et je pars....
J'ai résisté à la tentation d'argumenter avec lui, lui demander à quelle vitesse que j'allais , lui dire qu'il n'y avait pas de panneau indiquant la vitesse qu'ils disent que la zone est limitée. Mais non, j'ai rien dit et fait l'imbécile, et j'ai même parlé en français, pour l'impressionner...
Ça a marché. Mais... Ça été sérieux cette fois...
Puis j'ai continué la route jusqu'à Huaraz. J'ai passé de 200m d'altitude à plus de 4200m d'altitude en 2 heures et la pluie a mis fin à mon périple... Mais... la pluie a continué pendant toute la nuit et même le lendemain... Et je veux passer à travers le Cañon del Pato, qui est essentiellement une route de terre et de pierres. J'ai bien peur qu'avec mon pneu de route en avant, que je ne puisse pas passer...
Effectivement, je procède malgrés les glisse3ment de terrain qui couvrent la route à plusieurs endroits de plusieurs mètres de boue. Tant bien que mal... je continue... car, la pluie n'a pas trop touché le cañon. et à mon plus grand plaisir... une courte route, qui compte au moins une quarantaine de tunnel, mais superbe....
Voyez les quelques photos qui effleurent la beauté des lieux...
15 mars, 2010
Frontière du Pérou
L'arrivé au Pérou a été... euh... longue... et, pour la première fois, il m'a fallut déboureser de l'argent pour entrer dans un pays de l'amérique du sud.
Il me fallait une paier pour pouvoir entrer au Pérou, ce papier, coute, 500 pesos. C,est pas beaucoup ($1), mais bon.. je dis que c'est la première fois que l'on me demande ce papier et le douanier me dit que c'est impossible, et je lui montre mon passeport avec les timbres d'entré dans le Pérou pour lui prouver ce que je dis. Et lui de répondre.. "...pour cette frontière, c'est obligatoire."Bon... pas le choix et le principe va prendre le bord pour cette fois...
Alors... il faut une multitude de papiers qui me surprends sans cesse. Car on me dit que c'est le dernier papier que j,ai à remplir et lorsque je vais au guichet me faire estampiller ce papier, on me dit qu'il y en a d'autres, et encore d'autres...
L'immigration, la douane, le ministère de la santé, la douane encore, puis... bref... sur un papiers seulement, j,ai le droit à 6 estampille qu'il faut obtenir de six personnes différentes, et bien sûr, pas au même endroit. Une chance que je parle l'español maintenant, car j'aurais.. sacré... (ça m'arrive pas souvent...)
Mais bon... je me susi apperçu que j"étais impatient. Est-ce pour cette raison que les choses trainent en longueur?
Car mon état d'esprit influence les évèenements, ça.. je le savais, mais je l'expérimente au quotidien. J'ai rencontré des voyageurs (en moto) qui sont pleins d'enthousiasme et qui expriment la gratitude au quotidien et à qui rien de grave est arrivé, et d'autres voyageurs ( en moto toujours) qui expriment librement comment le monde est désorganisé, et combien la débilité est répendue et à qui il est arrivé des choses incroyables. QUe ce soit des vols, de l'extorcation, ou des rencontres fort désagréables, ces gens ont su attirer vers eux des expériences difficiles.
Je dois dire que j'ai eu mon lot d'expériences que l'on pourrait juger difficile, mais je ne les ait pas vécu comme ça. La solution allait venir, ce n'est qu'une question de temps.
Et l'expérience la plus troublante, ça été de découvrir l'absence du "seal" du filtre à air. J'ai eu bien peur pour le moteur de ma Chérie... et dans le fond... je n'avais pas à avoir peur.. car, la Chérie va bien, ne boit pas plus d'huile qu'auparavant et maintenant que je suis revenu à une altitude plus commune pour elle, elle ronronne tout bonnement.
Alors, c'est ainsi que j'ai passé cette frontière.. en état de frustration du principe, puis un laissé aller...
On m'avait parlé de la corruption au Pérou et en BOlivie. Rien vu de tel. EN Argentine Si, mais j'ai refusé de payer et on m'a laisser passer. TOut comme en amérique centrale.
Je me suis aperçu que l'attitude est de prime importance. SI on tiens la peur en soi, le pire va arriver. Si on garde l'esprit tranquille, le pire peut arriver, mais ça ne sera pas le pire... Je me suis fait arrêter, une fois au Mexique, une fois au Nicaragua, et 3 fois au Costa Rica ainsi qu'une fois en Argentine et.. Ah oui j'oubliais, une fois au Paraguay, et je n'ai eu jamais à payer...
L'attitude... et lorsque l'attitude change.. la tournure des évènements changent...
Ah oui, question d'attitude, conduire défensivement sur de magnifiques routes. Je compte jusqu'à maintenant 5 tentatives de meurtres par camions, autobus et automobiles... Mais la route est belle...
14 mars, 2010
J'ai fait mes auxrevoirs
Lorsque j'ai sorti de l'Argentine, pour la première fois, j'ai eu un serrement de coeur... Je fais mes auxrevoir à l'argentine. ce pays, coup de coeur, que je vais revoir... c'est certain. avec les amis que je me suis fait ici, en Argentine, et ce rythme de vie, cette manière d'être et ses paysages, l'argentine m'a conquise... Je m'en doutait bien, avant mon voyage que j'allais aimer ce pays, un préssentiment. La réalité est plus merveilleuse. Je crois que l'exemple parfait pour ça est le Matté. Le matté est essentiellement un partage. Un partage de matté, bien sûr, mais aussi un partage de temps... Les amis se rejoignent, vers 16h, le temps d'un matté et et d'une conversation... Le matté est un art de vivre. Une manière de ponctuer le quotidien, par des rencontres. Et tu es Argentiens, ou en tout cas une bonne personne si tu bois le matté. Combien de fois j'ai vu les gens regarder mon thermos et me dire " TU aimes le Matté?"... et moi de répondre "Si" et le sourire apparait sur leur visage et la conversation prends son envolée...
COmme quoi, le matté est un garantie de santé mentale. TU ne peux pas être une mauvaise personne si tu prends le temps à chaque jour de boire ton matté. Car le matté, est une thérapie quotidienne avec ses amis... Que demander de mieux... Enfin, les psychologues n'aiment probablement pas le matté, car ça enlève de la job, j'en suis sûr...
Combien de fois je me suis fait réveiller, lorsque je dormais sur le bord de la route par des gauchito et qui, lorsqu'il me voyait préparer ou boire du matté, commençait une conversation... Et que dire de mon arrivé au Paraguay, ce jeune homme qui m'offre, tout simplement, tout naturellement un matté (mais cette fois froid), car la conversation est bonne.
J'ai fait mes auxrevoirs...
Et depuis, car je voyage seul, je ne bois plus de matté... sans partage, ça n'a pas la même saveur...
COmme quoi, le matté est un garantie de santé mentale. TU ne peux pas être une mauvaise personne si tu prends le temps à chaque jour de boire ton matté. Car le matté, est une thérapie quotidienne avec ses amis... Que demander de mieux... Enfin, les psychologues n'aiment probablement pas le matté, car ça enlève de la job, j'en suis sûr...
Combien de fois je me suis fait réveiller, lorsque je dormais sur le bord de la route par des gauchito et qui, lorsqu'il me voyait préparer ou boire du matté, commençait une conversation... Et que dire de mon arrivé au Paraguay, ce jeune homme qui m'offre, tout simplement, tout naturellement un matté (mais cette fois froid), car la conversation est bonne.
J'ai fait mes auxrevoirs...
Et depuis, car je voyage seul, je ne bois plus de matté... sans partage, ça n'a pas la même saveur...
11 mars, 2010
Toute une expérience...
Une expérience...
Je croyais que la route était asphaltée...vous voyez, ça commence bien..., bon, Sur la carte la route que je vais prendre est une grosse ligne réservée pour les routes asphaltées. En plus, une personne sur Adventure Rider m'a dit que cette route est asphaltée mais que l'autre route un peu plus au nord ne l'est pas. Étant donné que je suis un rider solo , je ne veux pas prendre de risque inutile. Genre aller sur une route sur laquelle personne ne va, car trop dangereuse...
Alors je pars de Salta, une magnifique petite ville, aprèes avoir cherché pendant 2 heure un pneu de rechange pour ma roue avant. J'en avait trouvé un, un Anakee de Michelin, mais à 1375 pesos (plus de 350$) je me suis dis que j'allais attendre. Donc, ma recherche d'un pneu fût infructueuse. Alors je décide d'en achetter un au Chili, qui sera plus cher ( mais je doute qu'il soit plus cher que ce que l'on me demandait pour un Anakee. Je décide donc de reprendre l'autoroute vers la frontière... EH bien... première surprise.. l'autoroute se termine soudainement en un chemin de terre. Et quand je dis soudainement, je le dis avec intention... Un panneau affiche la fin de l'autoroute à la fin de l'autoroute... et ce... après une courbe... J'ai fait le saut... euh... dans tout les sens du terme, car ça tombe d'au moins un mettre après l'autoroute.
Donc, je me retrouve à
rentrer dans la ville pour chercher le chemin... Après une dizaine de questions à autant de personnes, je me sens sur le bon chemin... pour me rendre compte que les indications sur les panneau sont... sommaire, pour le moins...
J'arrive à un embranchement en Y et rien n'indique oũ aller... Alors je m'arrête un peu plus loins pour demander à un policier, qui me dit que je suis complétement dans les patates.. c'est à l'autre bout de la ville.. HEIN?????
J'ai heureusement une carte, qu'un bon touriste m'a donné, en enlevant une partie sur laquelle est écrit des indications qu'il a besoin.. eh bien... en ce moment, j'ai besoin de cette partie manquante...
J'insiste que je suis dans le bon chemin et le policier se rappelle que, oui, en effet.. je suis proche du but... Wow... Sérieux ce policier...
Je continue sans entendre ou comprendre ses explications, je me fie à mon Pif. Et il est bon... je suis sur la bonne route, un panneau me le confirme... puis... Construction... Il faut que je prenne un détour.. bon... on y va! Vous savez quoi... Habituellement, lorsqu'il y a un détour, pour cause de construction, il y a des panneaux qui indiquent comment revenir sur le chemin d'origine... Ici... Non...
Alors je tourne en rond pour retrouver le chemin... Que je trouve enfin... Et la route.. c'est de la belle asphalte... euh... pour un petit bout, Elle disparaît aussi vite que ma joie est apparue en mon coeur...
Un chemin de gravelle, a laissé place à un chemin de pierres puis de roches, puis de terre et... vous savez quoi, ce que je préfère... une route de sable... (c'est une litote) Et plus que j'avance dans ce chemin qui me promet une arrivée au Chili, plus que je roule lentement... Lorsque je suis partie de Salta, je pensais prendre un 2 heures pour arriver à la frontière , seulement 180km. Mais après 40km, et une heure de passé, je revise l'objectif, pour encore 3 heures. Puis après une heure, je revise mon objectif pour encore 3 heures, puis après une heure, je revise mon objectif pour encore 3 heures... Pas des farces...
Mon chemin , bien agréable tout de même , a lieu dans un paysage de plus en plus Andesque. J'avais oublié la beauté lunaire de ce paysage... Après la Pampa... des montagnes, c'est bien venu...
Étant donné que la route demande toute mon attention, loin de moi l'idée de changer de Tune lorsque la musique , provenant de mon Ipod, ne me plaît pas. Eh bien... je me suis tapé Sysyphus du disque Ummagumma de Pink Floyd dans un paysage sans borne... Toute une expérience , je vous le dis....
Et j'arrive à 19h 30 à la frontière de l'Argentine... pas le temps de traverser au CHili avant la noirceur. Alors ils, les douaniers, m'offre le gîte pour la nuit...
Et, je ne parle pas de l'absence de poste d'essence... Une chance que des carabiniers CHilien m'ont donné un peu d'essence, car je n'arrivait pas à San Pedro-d'Atacama...
Et à San Pedro... la route devient de l'alsphate... HÉ Hé!!!!
04 mars, 2010
02 mars, 2010
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